à la une : se former au jeu L’Arbre Soleil

Lors du Symposium international de psychogénéalogie (16-17 mars 2024), vous avez eu l’opportunité de découvrir une approche thérapeutique novatrice dans le domaine de la psychogénéalogie : l’Arbre Soleil, le jeu.

Si vous n’avez pas encore eu l’occasion de visionner notre présentation, vous pouvez la retrouver en suivant ce lien :

https://www.l-arbre-soleil.be/l-arbre-soleil-le-jeu-symposium

Suite à l’engouement suscité par notre méthode et aux nombreuses sollicitations que nous avons reçues, nous sommes ravis de vous annoncer la tenue, en collaboration avec l’ASBL l’Arbre de vie et des sens, d’une formation dédiée à la maîtrise créative du jeu de l’Arbre Soleil à Lyon.

Cette formation s’adresse à toute personne intéressée par l’utilisation du jeu, désireuse de se former à sa pratique, de vivre des expériences concrètes à travers des exercices expérientiels, et de comprendre comment cet outil peut enrichir sa démarche professionnelle. De manière à ce que cette formation conserve sa pertinence et sa qualité, les places seront limitées à 12 personnes.

Voici les détails pratiques :

Quand ? Les 25 et 26 mai 2024
Où ? À l’Espace Ouest Lyonnais
Tarif ? 449€ (pour les détenteurs du Coffret de jeu*) *Le Coffret de jeu est disponible à l’achat sur notre site au prix de 299€. Vous pouvez également le commander en nous envoyant un e-mail.

En bonus, nous offrons une séance de supervision de groupe pour accompagner votre progression dans l’utilisation du jeu.

Pour vous inscrire, veuillez suivre ce lien :

https://www.l-arbre-soleil.be/le-jeu-la-formation-le-stage-la-supervision-2

Nous espérons vous compter parmi les participants à cette formation.

 

Anaïs Aliagas et Quentin Favier vous présente un jeu thérapeutique unique

Un jeu thérapeutique au carrefour de la systémique, de la psychologie des profondeurs et de l’approche transgénérationnelle.

Y jouer, s’y former, et l’intégrer à sa pratique.

 

 

https://www.youtube.com/watch?v=GJe21HxPitM&t=10s

Symposium International de Psychogénéalogie

Vous êtes venus très nombreux participer à cet événement. Quelques nouvelles :

Nous avons rendu les clefs de ce très beau lieu qui nous a tous accueillis ce WE, retrouvé nos pénates, réorganisé nos bureaux, et repris le cours de nos vies, mais nous ne sommes pas intactes, nous restons enrichies de tous ces partages, de la beauté de l’énergie et de la bienveillance qui ont survolé ces 2 journées et demi.

Alors, nous vous remercions de tout cœur de cette très belle puissance que vous nous avez permis de déployer et de toucher du doigt.

Tous, sont heureux et nous le disent, nous vous relayons leurs joies et leurs

remerciements.

Nous espérons que les années qui viendront nous feront le même cadeau.. voire encore plus beau, pourquoi pas??

Nous saluons votre générosité et votre disponibilité.

Nous restons à votre disposition,

nous attendons vos remarques et suggestions sur les axes d’amélioration, et

Nous vous prions de recevoir toute l’immense gratitude qui nous porte aujourd’hui.

 

De tout cœur

Monica Justino 5548 9 9962 4275

Noëlle Lamy  06 79 50 21 07

Dominique Mathey 06 14 35 77 43

La géniale logique transgénérationnelle

Si la médecine conventionnelle préfère fermer les yeux sur le phénomène transgénérationnel, tant pis pour elle. De leur côté, les psychopraticiens éveillés à cette réalité continuent d’avancer dans la compréhension de cette « pré-programmation » dont Néosanté, depuis sa création il y a 13 ans, souligne régulièrement l’importance à travers articles et entretiens avec des auteurs.  Devant une salle bien garnie, la fine fleur d’entre eux était réunie le week-end dernier à Lyon pour animer le 2ème Symposium International de Psychogénéalogie. Quel formidable événement, mes aïeux ! J’y étais invité en tant que partenaire média et j’en suis encore tout chamboulé. Que de belles personnes rencontrées, que d’intervenants captivants et que de conférences passionnantes ! Je ne vais pas en sortir l’une ou l’autre du lot car tous les orateurs et tous leurs exposés étaient intéressants de bout en bout, le contenu étant à la hauteur d’une organisation quasiment parfaite. Ce qui était très plaisant, c’est que chaque conférencier a illustré son exposé d’exemples concrets et de cas cliniques éloquents. Cette avalanche de récits aurait convaincu le plus sceptique des rationalistes zététiciens que les secrets de famille et les traumatismes anciens se transmettent inconsciemment aux descendants. J’ai retenu deux histoires particulièrement spectaculaires. Présente au symposium et invitée sur scène par Paola del Castillo, une jeune quadragénaire prénommée Marion a découvert que son grand-père maternel était un soldat américain débarqué en France en juin 44, relation éphémère dont sa maman (donc la fille issue de cette idylle) ignorait tout. Test génétique à l’appui, Marion a retrouvé son vrai papy biologique aux États-Unis : celui-ci s’appelait Marion et habitait à Marion, ville située en Floride ! Le second cas époustouflant est celui de Pierre Palmade, relaté dimanche par Elisabeth Horowitz. Lors du tragique accident de voiture, l’humoriste a gravement blessé un enfant de 7 ans et provoqué la fausse couche d’une femme enceinte. Or à l’âge de 7 ans, Pierre Palmade a perdu son papa obstétricien, mort dans un accident de la circulation en revenant d’avoir accouché une femme en détresse ! Il faut être complètement obtus et fermé à l’invisible pour attribuer cette double coïncidence à la seule malchance. Ce qui n’arrive pas à la conscience revient sous forme de destin, avait déjà noté Carl-Gustav Jung. Heureusement, la levée des secrets et l’accompagnement thérapeutique peuvent faire des miracles. Lors de sa conférence, Bruno Clavier a ainsi raconté plusieurs guérisons instantanées d’enfants manifestant des symptômes rebelles et énigmatiques. Dans ses nombreux livres, ce psychanalyste et psychologue clinicien démontre indubitablement que l’exploration  du « roman familial »  permet de résoudre des situations inintelligibles et insolubles par les méthodes classiques. La psychogénéalogie est une puissante médecine d’avenir !

Le fantôme du covid

Même si je n’y allais pas pour ça, le symposium m’a permis d’en profiter aussi. Au cours de son exposé, le très bien nommé Pierre Ramaut (créateur du site Généasens et concepteur de l’application Commemoria, dont le patronyme arborescent est également l’anagramme de « trauma », ça ne s’invente pas !) a confié qu’il était enfant unique parce que son père, né en 1929, avait été marqué par l’effroyable crise économique régnant cette année-là en Belgique. Trop de bouches à nourrir, c’était risquer de les voir mourir. Et avec une pointe de regret, le psychanalyste transgénérationnel belge a expliqué qu’il avait lui-même un seul enfant, son programme familial inconscient étant qu’une descendance nombreuse rimait avec pauvreté dangereuse. Cela m’a ému parce que mon propre père est né en février 1930 dans le même contexte social anxiogène. Mais qu’à l’inverse de celui de Pierre, il a eu une abondante progéniture (j’ai deux frères et deux sœurs). À chaque fois qu’il faisait un enfant, ma grand-mère paternelle le traitait de fou et elle regardait sans doute le nouveau-né comme une cause de misère imminente. Sans en être conscient, j’ai probablement hérité de l’insouciance procréatrice de mon papa. Mais les soucis financiers chroniques de mon bébé Néosanté, ne sont-ils pas la rançon d’une empreinte périnatale négative ?   Je suis né moi-même en février 60 à Liège, théâtre de grandes grèves suscitées par l’angoisse du lendemain. « La peur de la chose engendrant la chose », comme disait Claude Sabbah, j’ai certainement intérêt à travailler cette mémoire familiale pour sortir des ennuis pécuniers.  Et j’ai aussi intérêt à affirmer ma virilité ! Lors de leur conférence à deux voix, le Dr Eduard Van den Bogaert et son épouse Judith ont fait faire au public un exercice amusant et très instructif : dessiner son arbre généalogique en 2 minutes chrono.  En analysant après coup les erreurs, les oublis et les anomalies de son croquis, un patient reçoit déjà des informations essentielles ! Pour ma part, j’ai placé mon grand-père paternel à gauche de sa moitié alors qu’il est plus naturel et bio-logique, tant dans le lit conjugal que dans la vie quotidienne, qu’un homme se tienne à la droite de sa femme. Or ce grand-père est mort jeune d’un infarctus, affection typique des hommes dominés qui n’osent pas prendre leur place et aller au combat. Pour ménager mon cœur et éviter la crise cardiaque, je serais donc bien inspiré d’honorer ma masculinité, c’est-à-dire d’être assuré de mon genre et de me comporter en guerrier, ce qui n’a pas toujours été le cas dans le passé. Merci pour le message, cher Papy que je n’ai pas connu !

Petit voyage dans ma valise personnelle

Si vous lisez Néosanté depuis un certain temps, vous savez que la genèse psycho-émotionnelle des maladies  se déroule en trois étapes conflictuelles. Le conflit qu’a identifié le Dr Hamer (Médecine Nouvelle) est celui qui précède de peu le déclenchement de la maladie et l’arrivée des symptômes. En amont de ce «conflit déclenchant »,  le Dr Claude Sabbah (Biologie Totale des Êtres Vivants) a pointé deux autres conflits à ne pas négliger pour comprendre un processus pathologique: le conflit  dit « programmant » ancré dans la prime enfance et la périnatalité, et le conflit dit « pré-programmant » qui trouve sa source chez nos ascendants et nos ancêtres. Que la santé physique ou psychique d’un individu soit conditionnée par son séjour utérin et ses premières expériences de vie, c’est une chose que la science médicale reconnaît de plus en plus. Par exemple, une étude islandaise parue dans le British Journal of Psychiatry vient d’établir que les personnes ayant subi des traumatismes infantiles (maltraitance, abus sexuel, violence psychologique, etc..) ont deux fois plus de risques de développer à l’âge adulte des troubles psychiatriques comme la schizophrénie ou la bipolarité. Les psychanalystes, et plus particulièrement la célèbre Françoise Dolto, ont initié cette découverte des influences périnatales. En revanche, il est encore peu admis que le vécu émotionnel de nos parents, grands-parents ou plus lointains aïeux nous affectent et orientent nos destinées. Et pourtant ! Depuis que la psychologue française Anne Ancelin Schützenberger a jeté les bases de la psychogénéalogie, l’intuition que les difficultés existentielles pouvaient avoir une origine transgénérationnelle a fait un sacré bonhomme de chemin. Dans la foulée de l’auteure du best seller « Aïe mes aïeux !», des milliers de thérapeutes ont pu vérifier chez leurs patients que le mal-être, les maladies et les malheurs étaient familialement transmis dans une proportion défiant les lois du hasard. Et maintenant que la science épigénétique a démontré  que l’hérédité des caractères acquis était une réalité, il ne fait plus de doute que les drames et tragédies du passé s’incrustent dans les cellules et s’expriment encore au présent. Pour guérir en profondeur, chacun aurait avantage à enquêter sur les circonstances de sa naissance et à grimper dans son arbre généalogique pour y repérer les troublantes récurrences de dates, de prénoms ou de destinées.

 

Cascades de cas, guérisons à foison

 

Dans leur jargon, les psychogénéalogistes appellent « fantômes »  les secrets et les non-dits qui reviennent hanter les générations suivantes en produisant des scénarios répétitifs. Et dans son exposé, Bruno Clavier a souligné qu’un fantôme était toujours un « vide de représentation », un impensé qui n’arrive pas à la conscience. Lui qui travaille beaucoup avec les dessins d’enfants, il a souvent observé que ce qu’ils ne dessinent pas recèle généralement la clé de leur mal-être. L’absence de représenté est très fréquemment le signal de la présence du fantôme. Prenant la balle au bond durant le quart d’heure de questions, j’ai donc demandé à Bruno Clavier quel était, à son avis, le fantôme du co…vide. Il a salué mon calembour qu’il a qualifié de « lacanien » mais il a botté en touche, n’ayant apparemment rien à dire sur le grand délire covidien. À l’instar du Dr Jean-Claude Fajeau, je suis pour ma part persuadé que la mascarade corona est une réminiscence de la grippe espagnole de 1918-1919. D’abord parce que la première est survenue exactement un siècle après la seconde, ce qui correspond à 4 générations. Depuis Anne Ancelin, les spécialistes du sujet disent justement que les traumatismes se réactivent à la quatrième génération. Ceux qui ont souffert d’un covid sévère et ont perdu l’odorat devraient chercher quel arrière-grand père a failli trépasser dans les tranchées et a respiré du gaz moutarde ou humé l’odeur repoussante de la gangrène. Si je pense que le corona est un duplicata du grand fléau influenza, c’est aussi parce que les deux escroqueries sont parfaitement identiques :  ce n’est pas le virus qui a tué mais les infections bactériennes et l’abus de fébrifuges, les survaccinés de l’époque (notamment les militaires américains) ont trinqué comme ceux d’aujourd’hui et la grippe  faussement hispanique de 19 a servi tout autant de fourre-tout que la coque vide-19. À un siècle de distance, les autorités sanitaires ont fait passer des agressions chimiques, iatrogéniques et psychologiques pour une calamité virologique. Last but not least, la pseudo-pandémie de coco est à mes yeux le fantôme du faux cataclysme grippal parce que les deux maladies ont soigneusement sélectionné leurs victimes. Il y a 104 ans, ce sont les jeunes poilus démobilisés et survivants –  toute maladie infectieuse pulmonaire est une phase de guérison de la frayeur de mourir –  qui tombaient comme des mouches. Il y a 4 ans, on a tout de suite vu que les personnes âgées étaient les seules concernées par les issues fatales et que les enfants et adolescents n’avaient rien à craindre. Pourquoi ? Pour la simple et bonne raison qu’ils sont de la cinquième génération et que le fantôme du covid n’est pas venu hanter leurs poumons. En 2119, il faudra veiller à ce que le spectre ne revienne pas épouvanter les petits-enfants de nos enfants. Et dans deux ans, lors de la quatrième édition du Symposium (la deuxième sur sol européen), j’espère que l’épidémie fantomatique aura été totalement démasquée. Car combattre les mensonges covidistes et exiger qu’ils soient punis, c’est aussi prendre soin de la postérité.

Yves Rasir

La Biographie par Amandine Vilsoni

Cliquer sur ce lien pour découvrir la biographie par Amandine Vilsoni

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Qu’avez-vous hérité de vos ancêtres ? 2 outils d’enquête sur votre histoire familiale

par Éduard Van den Bogaert

Notre vie n’est pas conditionnée par notre· passé, mais par les croyances que nous lui avons rattachées et, finalement, l’histoire que nous avons nous-mêmes écrite. L’hypnose ericksonienne et la psychogénéalogie sont nées de l’idée de reformater notre cerveau pour nous aider à mieux appréhender le moment présent. Explications.

Des « miracles » biologiques peuvent se produire, mais ils ne sont jamais dus au hasard. Pour les rencon­trer, l’hypnose ericksonienne nous met en connexion avec le Ciel et la Terre, avec toutes les parties de notre corps, ainsi qu’avec le Créateur ou la force de Vie qui nous anime.

C’est alors que, via notre inconscient, les mémoires de tous nos ancêtres, partenaires, enfants, petits-enfants, et de toutes les personnes marquantes de notre vie et qui, d’une certaine manière, vivent en nous peuvent s’inviter à l’expérience. La combinaison des deux outils de psychothérapie que sont l’hypnose ericksonienne et la psychogénéalogie a ainsi permis un saut quantique dans les processus de guérison.
L’hypnose change l’expression de votre génétique

L’hypnose ericksonienne tient son nom du docteur Milton Erickson. C’est une forme d’hypnose médicale très performante, qui n’a toutefois rien à voir avec celle des hypnoti­seurs de spectacles tels que Mesmer ou certains shamans, qui arrivent à mettre la personne dans un état de transe profonde où elle n’a plus aucune conscience de ce qu’elle fait.

Le reportage d’un anthropologue sur un shaman de Nouvelle-Guinée m’a jadis marqué. Ce dernier avait la capa­cité de mettre en transe profonde des sujets de sa tribu et, ainsi, de leur sug­gérer qu’ils étaient un animal sauvage. J’ai pu voir dans ce film un homme se prendre pour un sanglier et partir dans la forêt à la recherche de racines dont seuls les sangliers raffolent. Le plus surprenant, c’est que ces racines dures et toxiques ne cassent pas les dents fragiles des humains en transe. Elles ne les tuent même pas, tant qu’ils restent investis par la croyance qu’ils sont des sangliers ! Au niveau de l’épi­génétique, on constate que l’hypnose peut moduler l’expression des gènes pour amener des individus à faire des choses dont ils ne se seraient pas crus capables, mais aussi pour arrêter des maladies. Cependant, pour agir par hypnose en toute sécurité sur les mémoires transgénérationnelles, un travail préalable d’information et de structuration est incontournable.
Et si la mémoire de vos ancêtres vivait encore en vous ?

Nous connaissons tous la généalogie, qui permet, encore plus aujourd’hui grâce à Internet, de retrouver administrativement nos origines voire le vécu de certains ancêtres dont la mémoire vit encore en nous. Le docteur Jacob Levy Moreno, père du psychodrame1 et du génosociogramme2, a développé une approche qui consiste à demander au patient de dessiner son arbre généalogique, ou tout du moins celui de sa famille. Une de ses élèves, Anne Ancelin Schützenberger devenue professeure en psychosociologie, a amélioré ce concept en donnant naissance à la psychogénéalogie. Selon elle, les traumatismes, conflits et secrets de famille vécus par nos ascendants influencent notre comportement et, bien plus encore, notre état de santé. Elle synthétise ses découvertes dans son ouvrage best-seller Aïe, mes aïeux ! Liens transgénérationnels, secrets de famille, syndrome d’anniversaire, transmission des traumatismes et pratique du génosociogramme pour mieux nous faire comprendre ce qui régente notre vie. J’ai eu l’occasion de la rencontrer à ses débuts en psychogénéalogie, sans toutefois parvenir à mettre d’emblée son outil en application en médecine.
Votre arbre généalogique en 2 minutes, top chrono !

C’est ma rencontre avec le docteur Claude Sabbah, créateur de la biologie totale3, qui m’a permis de rassembler les pièces du puzzle pour coller à la biologie et à la médecine. J’ai ainsi mis au point « l’arbre minute », qui consiste à faire dessiner au patient son arbre généalogique en 2 minutes chrono. Cet arbre est comme un scanner cérébral de la « représentation » de la famille par le patient dans le moment présent. Cela m’a permis d’introduire la psychogénéalogie en médecine générale, une étape que j’ai nommée l’Œuvre au noir, en référence au Grand Œuvre alchimique4 La lecture et le décryptage biomédical de cet arbre minute révèlent de manière surprenante les conflits familiaux du patient et les risques de maladies qui peuvent en découler.

Par la suite, avec mon épouse Judith, nous avons mis au point notre méthode de « structuration neuroscientifique du cerveau », à l’aide de l’interprétation du dessin de l’arbre généalogique, pour discerner les origines des problèmes et des maladies du patient. La durée de cette étape, que nous avons appe­lée l’Œuvre au blanc, est variable selon l’intensité des conflits familiaux et le chemin thérapeutique déjà parcouru par le patient’. La spécificité de cette méthode est qu’elle permet d’avoir une vision panoramique, holistique de sa famille et de sa vie. Cela peut assuré­ment compléter une approche généa­logique classique ou des méthodes alternatives comme les constellations familiales.
Pardonnez (aux vivants comme aux défunts)

En nous adressant par hypnose à chacune de nos mémoires, nous pouvons alors leur demander, par exemple, de symboliser par un objet imaginaire la souffrance que nos ancêtres, nos collatéraux, nos descendants et nous-mêmes avons vécue. Ceci va nous permettre de rendre leurs souffrances à leur « bourreau » pour finalement arriver au pardon et à la grâce. Une étape incontournable dans le processus de deuil. Il est aussi possible de res­sourcer tous les manquements dont nos mémoires internes ont souffert. Que les personnes concernées soient aujourd’hui vivantes ou décé­dées, cela permet systématiquement d’apaiser leur âme par le phéno­mène de biorésonance. Ainsi, « en rendant à César ce qui appartient à César », nous pouvons accéder à la paix, l’amour et l’unité avec tous les êtres sans lesquels nous ne serions pas en vie, ni en couple, ni parents, ni grands-parents. Et à chaque fois que nous libérons nos mémoires de ces charges émotionnelles, nous nous rapprochons un peu plus de qui nous sommes vraiment.

Note : La présence de la famille lors d’une séance d’hypnose facilite la guérison des maladies, des accidents et des conflits. Néanmoins, en raison de la puissance de cette méthode, nous vous conseillons de la pratiquer avec des thérapeutes ayant reçu une formation exigeante.

Le psychodrame est une thérapie utilisant la théâtralisation afin de mettre en scène une problématique intérieure. Elle est le plus souvent utilisée en thérapie familiale ou de groupe.
Le génosociogramme est une variante de l’arbre généalogique utilisé en psychogénéalogie qui permet de mettre en évidence les phénomènes de répétition (accidents, maladies, deuils, …) dans une famille.
Hypothèse selon laquelle les maladies seraient causées par un conflit psychologique affectant des zones précises du corps.
Le Grand Œuvre alchimique est la réalisation de la pierre philosophale, une substance capable de transformer le plomb en or et de guérir les mala­dies. Du point de vue psychanalytique, il s’agit du chemin de développement de l’âme.
Pour entamer une partie de ce travail, vous pouvez lire Psychogénéalogie – Manuel d’autodécryptage de votre arbre minute, d’Eduard et Judith Van den Bogaert (éd. Grancher, 2018).

L’hypnose ne change pas votre passé, mais ce que vous en faites !

Nous avons utilisé la métaphore des 3 étapes du Grand Œuvre pour mettre en évidence le pouvoir de la transmu­tation alchimique que notre méthode permet de réaliser. La psycho­généalogie, ce n’est pas remuer le passé, ni y retourner. L’arbre minute et la structuration de l’image présente de sa famille ne peuvent en effet se faire dans un passé dépassé. Aussi, l’hyp­nose ne permet pas de changer son passé mais elle peut changer l’image que nous en avons gardée et les croyances qui y sont rattachées. Et ce sont finalement les ressentis quant à notre vécu familial et personnel que nous avons construits dans le présent qui peuvent évoluer à leur tour !

Cette transformation de nous-mêmes impacte également nos ascendants, ceux qui ont un ascendant sur nous (patrons, diri­geants, …), nos collatéraux (fratrie, cousins, partenaires, amis, col­lègues, voisins, ennemis, …), nos descendants… et même le monde entier ! Mais elle est insoupçonnable si nous n’avons pas fait ce pèleri­nage intérieur. Je me souviens d’un de mes patients, Salvator, qui était paralysé de naissance à la suite d’une hypoxie cérébrale périnatale. En suivant ce processus, il a pu reconstruire son cerveau et guérir de sa paralysie à l’âge de 19 ans1 !

Cf. Médecines Extraordinaires n°31 (février 2021).

Décryptage biomédical par l’arbre-minute

Interview : LE Dr EDUARD & JUDITH VAN DEN BOGAERT

Article de Carine Anselme

Devenir soi. Le Grand Œuvre d’une vie ! S’il est à la portée de tous de travailler sur des problématiques conscientes, difficile de dénouer ce qui vient de l’inconscient et nous pilote à notre insu. Problèmes de santé, échecs récurrents, incapacité à être heureux… Et si ces déboires n’étaient que les répétitions douloureuses héritées de nos ancêtres ? Connaître l’histoire des générations qui nous ont précédés nous permettrait alors de faire des choix conscients et d’accomplir notre destinée. C’est l’enjeu de l’approche nouvelle de la psychogénéalogie proposée par Eduard et Judith Van den Bogaert. Dans leur « Manuel d’autodécryptage de votre arbre-minute » (1), ils proposent une méthode basée sur une représentation graphique de l’arbre généalogique correspondant aux lois de la biologie, pour nous révéler à nous-mêmes et accéder au processus d’autoguérison inhérent à chacun. Nourri du travail sur leur mémoire familiale et le décryptage des arbres de nombreux patients, cet ouvrage est d’une grande aide pour aider à déjouer les programmes transgénérationnels. Ainsi connaître son passé pour mieux vivre le présent et transformer le plomb en or. Pour soi, pour les siens, pour le monde.
Problèmes de santé, échecs récurrents, impossibilité à être heureux… Et si les problématiques que nous rencontrions dans nos vies n’étaient en fait que des répétitions douloureuses issues de celles de nos ancêtres ? Et si ces processus répétitifs n’étaient là que pour nous révéler à nous-mêmes et nous pousser à devenir acteurs de notre bien-être ?

En préface, l’actrice Michèle Laroque y confie que la thérapie de l’arbre, effectuée avec le Dr Eduard Van den Bogaert, lui a sans doute « sauvé la vie »… Dessiner son arbre lui a permis de repérer les traumatismes répétitifs qui le constellaient. Hasard ou pas ? On lui a proposé ensuite de participer à une émission en quête de ses ancêtres, avec Eduard en conseiller. « Grâce à cette émission, j’ai pu découvrir les traumatismes similaires en miroir entre les branches paternelle et maternelle de mon arbre. En comparant les âges de ceux qui étaient pointés, nous nous sommes aperçus, Eduard et moi, qu’ils étaient tous morts à quarante-six ans. Or, au moment de cette émission, j’avais quarante-cinq ans. Je me souviens avoir commencé à trembler et, quand je me suis tournée paniquée vers Eduard, il m’a rassurée en me disant que ma prise de conscience allait me permettre d’arrêter ce programme. Je n’oublierai jamais cet instant-là », partage l’actrice… Trouver des pistes de guérison dans l’héritage familial : tel est l’objectif, aussi ambitieux que précieux, de cet ouvrage, « Psychogénéalogie » (1), qui concentre l’approche d’Eduard et Judith Van den Bogaert. Ce couple à la ville comme à « la scène » œuvre en c(h)œur à autonomiser les patients sur le chemin de la guérison et du sens de la maladie. De chœur, il est aussi question en les interviewant – l’un rebondit sur ce que dit l’autre, poursuit, complète… Aussi retranscrirons-nous cet entretien en duo d’une seule voix, sauf à de rares exceptions lorsque cela se justifie.

Comment résumeriez-vous les étapes que nous fait franchir votre livre, qui mêle théorie et pratique ?

Tout d’abord, en vous permettant de percevoir votre inscription au sein de l’histoire de l’évolution du vivant, vous réaliserez combien les accidents ou maladies sont des moyens pour vous aider à évoluer dans votre environnement, qu’il soit sentimental, familial ou professionnel. Puis vous serez invité à dessiner spontanément votre arbre généalogique en deux minutes (voir encadré) et apprendrez à le décrypter ; c’est-à-dire à y déceler les conflits que vos ancêtres et vous-même nourrissez. Ensuite, en apprenant pas à pas à redessiner votre arbre selon des règles de construction bien précises, que nous détaillons dans le livre et qui répondent à la logique du vivant, vous transformerez ces conflits décryptés. Enfin, vous pisterez dans votre nouvel arbre l’invariant de la maladie ou du trauma personnel afin de terminer les deuils inachevés des protagonistes de votre arbre et d’activer leurs capacités inexploitées pour la réalisation de leurs rêves, et ce afin de rendre les vôtres possibles.

Votre livre est dense ; on perçoit qu’il concentre la quintessence de votre approche. Quelle a été votre expérience de l’écriture à quatre mains ?

(En chœur) C’est une libération ! (Ils se regardent) Ce livre est un accouchement, il incarne la somme de nos parcours et connaissances… (Judith) Nous avons beaucoup pratiqué l’arbre-minute avec les gens, et nous avions à cœur de transmettre cette façon de travailler à travers un « to do book », qui permet d’avoir des outils concrets pour avancer en profondeur, de manière autonome. (Eduard) Judith a amené la dimension sensitive, surtout dans la partie pratique, qui permet d’aller plus loin dans la compréhension du vivant. La mise en application corporelle permet d’intégrer les dessins de l’arbre généalogique. En ce qui me concerne, cet éveil corporel est venu enrichir ma manière d’aborder mes patients. (Judith) Cette fluidité corporelle permet de délier et de relier les choses.

Vous présentez aussi ce livre comme un héritage…

Absolument ! Nous le léguons à nos patients et nos élèves passés, présents et à venir, mais aussi et avant tout à nos enfants respectifs, à leur descendance – nous sommes soulagés de savoir que, lorsque nous ne serons plus là, ils pourront poursuivre ce travail généalogique. Nous sommes une famille recomposée et face à cet enjeu, nous avions bien compris que l’état de santé de nos arbres nécessitait de l’attention si nous voulions réaliser nos désirs d’âme. Nous avons ainsi entrepris ensemble un grand voyage généalogique alchimique et transformé notre plomb respectif en or (aujourd’hui, l’arbre d’Eduard fait… 21 mètres de long, contient un maximum d’informations et remonte à 1600, celui de Judith fait 13 mètres, NDLR). Nous sommes aussi arrivés à un moment où nous voulons transmettre notre approche globale ; nous allons mettre en place des formations pour thérapeutes (voir « Pour aller plus loin »).

Vous donnez régulièrement des séminaires sur la généalogie. Pourquoi avoir eu besoin de réaliser un livre ?

Lorsque nous donnons des séminaires, les participants passent souvent à côté de choses importantes – ils veulent vite dessiner leur arbre généalogique pour passer à l’hypnose. Or, faire et refaire son arbre modèle le cerveau, grâce à la neuroplasticité ; chaque étape révèle des choses qu’ils ne voient pas de prime abord. Tout est comportement. (Judith) Mon premier métier est traductrice, je perçois donc les pertes importantes que les personnes font en « décryptant » leur arbre. Or, il est capital de le décoder et de le comprendre en profondeur. En ce sens, la transmission écrite permet d’aller plus loin. (Eduard) Et puis, il y a une chose essentielle : lorsque les personnes sont confrontées à la maladie, il y a une inquiétude financière. S’ils veulent approfondir leur travail sur l’arbre, cela peut nécessiter plusieurs visites. Avec cet ouvrage qui transmet des informations et le mode d’emploi pour réaliser son arbre, lorsqu’ils arrivent chez nous, ils sont déjà prêts à aller à l’essentiel. Nous proposons de la Médecine Sensitive Coopérative® : cela sous-entend que les patients coopèrent, qu’ils deviennent acteurs de leur santé.

Pour faire son arbre-minute (voir encadré pratique), vous préconisez le dessin à la main plutôt que de le réaliser à l’ordinateur…

Le clavier est plutôt schizophrénique, alors que l’écriture est reliée. Dessiner son arbre à la main œuvre à la reliance, qui est au cœur du travail généalogique. La généalo-mano-graphie (étymologiquement « dessiner de notre propre main la transmission de nos gènes ») constitue une sorte de scanner manuel, symbolique, du représenté neurologique cérébral d’une grande valeur pour faire le bilan de santé de chacun. Vous le dessinez avec une conscience dont vous n’avez pas conscience ! L’ordinateur peut venir après, pour la mise au net.

De quelle manière peut-on le rapprocher d’un scanner cérébral ?

C’est l’équivalent psychique transgénérationnel du scanner du cerveau. Après avoir observé à la loupe l’arbre-minute de milliers de patients, nous nous sommes rendu compte qu’il était possible de découvrir ce que le Dr Hamer était capable de découvrir en réalisant des scanners du cerveau. Pour lui, chaque modification millimétrique d’une partie du cerveau sur le scanner cérébral révèle ce qui se passe dans le fonctionnement biologique de la partie correspondante du corps de la personne. Il en va de même pour celui qui a dessiné son arbre-minute : chaque modification du dessin par rapport au tracé à main levée idéal ou normal d’un point de vue biologique révèle un blocage ou une suractivation neuronale traduisant l’existence d’un conflit psychique pouvant éventuellement entraîner une maladie, un malaise ou un accident physique. On « lit » les informations, il n’y a pas d’interprétations. Il est donc possible de comprendre la signification et de prévoir l’impact de ces représentés graphiques sur sa vie et sa famille. L’arbre vous montre dans quelle « pièce de théâtre » familiale vous jouez… Accompagner une personne qui se sent impuissante à résoudre une problématique à partir de l’arbre généalogique, permet de (lui) faire comprendre qu’elle n’est pas le problème. (Eduard) Ce qui est génial, c’est qu’avec l’arbre elle a tout le matériel pour nourrir la métaphore hypnotique !

Comme son nom l’indique, l’arbre-minute se fait dans l’instant. Ce qu’il produit est-il durable ?

À travers le décryptage biomédical de votre dessin, vous pénétrerez dans votre « autre scène inconsciente », vous découvrirez la manière dont vous vous représentez inconsciemment votre famille. Par l’éclairage de ce que vous aurez dessiné, les portes de la transformation et de la guérison s’ouvriront. Cependant, l’arbre-minute est le commencement d’un long processus qui peut parfois prendre plusieurs semaines, voire plusieurs mois, à partir du moment où la personne entre dans le processus thérapeutique de guérison et qu’elle s’ouvre aux différentes prises de conscience que ses représentés lui révèlent. De décryptage en décryptage, votre arbre-minute prendra de l’ampleur et deviendra bien vite l’arbre de vie qui vous accompagnera tout au long de votre existence. Vous l’étofferez de vos découvertes et démêlerez bien des situations de vie. Plus tard, quand il sera terminé, vous pourrez même le consulter à souhait pour découvrir ce qui peut vous freiner ou vous propulser dans certaines situations de vie. Vous pourrez le reprendre et l’investiguer avec d’autres thérapeutes et outils – ostéopathie, microkinésithérapie, EMDR, tarot (Judith) J’ai beaucoup travaillé sur l’arbre – je peux témoigner que c’est un outil très utile pour la vie de tous les jours !

Comment dessiner son arbre-minute lorsqu’on a des blancs dans sa généalogie ?

Ce travail est très sensitif – nous constatons que les personnes qui le font savent souvent beaucoup plus de choses qu’elles ne le pensent… Un vide est déjà une information en soi ! On peut poser la question : « En regardant cet arbre, comment vous sentez-vous face à ce vide ? » L’émotion permet des prises de conscience. De toute façon, quelle que soit votre histoire, vous êtes toujours issu d’une lignée – que l’on soit adopté, que l’on ne connaisse pas l’un de ses parents ou qu’on ne voit plus sa famille. (Eduard) Je repense à ce médecin en séminaire qui disait : « Je ne connais personne de ma famille. Je suis un chien sans collier. » Nous l’avons placé dos au tableau et Judith lui a posé des questions, pendant que je dessinais tout ce qu’il disait. Lorsqu’il s’est retourné, il a pleuré : il a vu son arbre, avec déjà des informations, des liens… Il s’est rendu compte qu’il n’était pas un chien sans collier !

C’est un travail qui dépasse notre personne, semble-t-il ?

Faire son arbre initie un travail transpersonnel : ce n’est pas juste « papa/maman », c’est se réconcilier avec la grande famille mondiale. En travaillant sur ses racines, sur tout ce terreau, l’arbre peut symboliquement porter des feuilles, des fruits, de bien meilleure qualité. On gagne en enthousiasme, en empathie, en émerveillement. Et même si l’on ne parvenait pas à guérir de sa pathologie, partir en paix est un travail magnifique en soi – tant pour les morts que pour les vivants.

Vous avez d’ailleurs choisi la métaphore alchimique pour évoquer ce travail précieux de « mise au monde » de soi à l’aune de la généalogie…

Le mot « travail » renvoie à tripalium qui, étymologiquement, évoque un instrument de torture… Nous avons donc délibérément choisi la métaphore du Grand Œuvre alchimique (l’œuvre symbolise aussi l’artiste, l’œuvre de notre vie) et de ses trois étapes – œuvre au noir, œuvre au blanc, œuvre au rouge – pour illustrer comment le plomb de notre inconscient peut être transmuté en or, c’est-à-dire en capacité de réaliser des choses qui nous semblaient impossibles dans les différents aspects de notre vie. La première étape, l’œuvre au noir, incarnée par le dessin de l’arbre-minute, est le scanner de l’inconscient familial (avec son chaos). L’œuvre au blanc a pour fonction d’informer – de rassembler toutes les informations possibles sur la vie familiale, sentimentale, professionnelle des protagonistes de l’arbre généalogique. Il va sans dire que, dans cette étape, s’informer sur les maladies, les accidents et les drames qui ont secoué l’existence de ces protagonistes est primordial. Enfin, la troisième étape, l’œuvre au rouge, se réalise sous hypnose ericksonienne. Il s’agit d’aller à la rencontre de la mémoire des ancêtres présente biologiquement en nous pour entrer en empathie « tonico-émotionnelle » avec eux. Si l’on se met en résonance avec nos ancêtres, c’est-à-dire dans le même « tonus » que ceux-ci, on peut se souvenir, ressentir et imaginer ce qu’ils ont vécu pour le verbaliser. L’enjeu, dans cette étape, est de transformer ou de transmuter cette mémoire (ces étapes sont détaillées dans le livre, NDLR). Pour conclure, «œuvre » symbolise aussi les artistes que nous sommes tous face à l’œuvre de notre vie !

À lire : (1) Psychogénéalogie. Manuel d’autodécryptage de votre arbre-minute, Dr Eduard & Judith Van den Bogaert, préface de Michèle Laroque (Grancher, 2018).

EXERCICE

Dessinez votre arbre-minute

« Nous sommes tous dépositaires d’un inconscient biologique et psychique qu’il nous revient de clarifier », explique Judith Van den Bogaert, à qui l’on doit principalement la partie pratique du livre (même s’il est une co-création). Pour démarrer l’œuvre généalogique avec votre arbre, il vous est proposé de dessiner votre arbre-minute, sachant que le verbe « représenter » signifie « remettre dans le présent ». « Il est nécessaire de conscientiser que l’arbre généalogique est avant tout un système de répétitions et que rien ne nous oblige à en être la proie… Nous pouvons au contraire l’utiliser pour avoir le vent en poupe ! » Faire son arbre-minute va vous permettre d’ouvrir votre conscience et de faire un état des lieux de votre relation avec votre famille, telle qu’elle s’est inscrite dans votre cerveau.

En pratique, c’est simple : il s’agit de dessiner son arbre généalogique de manière spontanée sur une feuille de papier, en deux minutes.

Matériel nécessaire : une feuille sans lignes ni quadrillages, un stylo à bille ou à plume et une montre (respectez la consigne du temps). « Nous vous invitons à agir sans réfléchir. Ce dessin est comme un scanner de votre cerveau. C’est la manière dont vous vous représentez inconsciemment votre famille. Le représenté de votre arbre-minute (de même que les dessins ultérieurs que vous réaliserez pour parvenir à la version finale de votre arbre généalogique*) sera révélateur et symptomatique des difficultés que vous avez à dépasser pour vous réaliser pleinement. » Le stress qui peut survenir face à cet exercice limité dans le temps et engageant est porteur. « Le stress ressenti fait produire à votre cerveau des ondes gamma. Ce niveau énergétique d’ondes permet de pénétrer l’inconscient. Le stress ouvre la barrière hémato-encéphalique, pour que les informations qui limitent votre bien-être remontent à la surface », précise le Dr Eduard Van den Bogaert. « À travers l’arbre-minute, nous permettons à ces occultations d’apparaître en toute sécurité. C’est très intuitif, très créatif », conclut Judith Van den Bogaert.

* Les étapes ultérieures, essentielles pour approfondir le processus, sont détaillées dans le livre (voir « À lire »).

Souvenez-vous que Néo santé ne dépend d’aucune publicité et a besoin de chacun de nous pour s’assurer une longue vie. Si vous désirez-vous abandonner à cette revue riche de nouveautés en santé rendez-vous sur :

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Néo santé

Les 7 défis que notre approche en psycho généalogie bio médicale vous aide à relever pour faire de votre vie une œuvre d’art et vivre en Bonne Santé

Notre santé, notre bien-être ou notre mal-être sont-ils directement en lien avec notre généalogie ? Réussir son couple, sa vie de famille, sa vie professionnelle voire même sa destinée serait-il lié à notre ascendance ? Les secrets de famille engendreraient-ils certaines pathologies ? La maladie trouverait-elle des pistes de guérison dans l’arbre généalogique ? Avons-nous besoin de connaître notre passé pour mieux vivre notre présent ? Comment nos gènes sont-ils impactés par notre généalogie ? Bref, que faire de notre héritage familial ?

Notre manière d’aborder la psychogénalogie apporte un bel éclairage sur toutes ces questions et vous aide à devenir un gestionnaire transgénérationnel chevronné, capable de retirer le meilleur de votre héritage pour vivre en Bonne Santé et avoir le temps de réaliser votre destinée.
Notre premier défi, vous aider à percevoir la Santé autrement

La maladie, les drames et les échecs n’ont pas de frontière et ne font aucune discrimination de race, de sexe, d’âge ou de milieu social. Le désir d’évoluer et d’améliorer sa vie non plus d’ailleurs !

Nous sommes tous égaux face aux malaises, à la maladie ou aux accidents qui n’ont pas pour fonction de nous faire souffrir ou mourir, mais de nous faire évoluer vers une vie plus adaptée à notre nature profonde, une vie où nous nous épanouissons.

Notre approche de la psychogénalaogie ouvre à une autre perspective de la médecine : celle de prétendre à une véritable prévention primaire autant qu’à une facilitation de la guérison, du mieux-être et de la destinée en vous aidant à percevoir la Santé autrement. Par santé nous n’entendons pas qu’une absence de maladie ou d’infirmité mais un bien-être total qui s’exprime sur le plan spirituel, social, mental, émotionnel, énergétique et physique au sein des 8 règnes du Vivant. En plongeant dans notre histoire transgénérationnelle, le terrain qui sous-tend ces différents plans dans votre présent peut être facilement sondé, conscientisé et dynamisé. L’objectif de notre approche de la Santé grâce à la psychogénalogie, que ce soit par notre livre, nos séminaires ou séances individuelles, est d’allier théorie et pratique pour vous aider à devenir acteur de votre Santé et ainsi de votre bien-être et de votre réalisation.
Notre deuxième défi, vous aider à réaliser que vous êtes un enfant de l’Univers

Le premier pas pour vous permettre de manifester au plus vite votre puissance intérieure et dynamiser vos processus de bien-être et d’autoguérison, est de ressentir que vous portez au creux de vos cellules l’évolution de l’Univers tout entier. Découvrir le fil rouge qui relie les branches de l’évolution depuis le Big-bang jusqu’aux branches de votre arbre généalogique permet non seulement de trouver votre juste place mais également de vous libérer plus facilement des diktats familiaux pour réaliser ce qui vous tient à cœur.

Incarner votre inscription au sein de l’histoire de l’évolution du Vivant est un défi à relever. Il ne s’agit pas uniquement de comprendre l’origine de la vie et l’intelligence des lois biologiques qui la régissent, il s’agit de les ressentir.

Quand on se plaît à dire que nous sommes faits de poussière d’étoiles, il ne s’agit pas que de poésie. Nous sommes des enfants de l’Univers avant tout, puissants au-delà de toutes nos limites psychogénéalogiques.

Lorsque vous sentirez votre inscription humaine au sein de l’histoire de l’évolution du Vivant et votre parenté au règne Astral, Minéral, Micro-myco-bactério-viral, Mycélial, Végétal, Animal, Humain et Spirituel, vous ressentirez votre part lumineuse, celle qui vous aide à incarner le rôle que vous êtes venu jouer sur terre.

Se souvenir de qui vous êtes avant tout, éveille un sentiment de sécurité intérieure, une sensation d’avoir reçu en surabondance pour évoluer sur terre. Cette inscription sensitive vous relie à votre puissance créatrice, au flux de l’évolution du Vivant et aux capacités dont vous avez besoin pour accomplir ce à quoi vous aspirez.

Fort de cette compréhension et appartenance ressentie, il vous devient possible de sortir du conditionnement médical occidental et de changer de regard sur les drames, les accidents, les malaises ou les maladies. Vous devenez capable de les percevoir comme des aides qui vous poussent à vous souvenir de qui vous êtes et à vous positionner de manière unique au sein de vos différents environnements : sentimental, familial, professionnel ou social.
Notre troisième défi, vous aider à percevoir que tout ce qui est vécu à un sens

Grâce à la réalisation de votre bilan de Santé transgénérationnelle sur quatre générations il est possible de repérer les conflits potentiellement maladisants susceptibles de vous plomber sur le plan sentimental, familial, professionnel et social. Détecter en quoi les conflits ancestraux résonnent avec votre vécu personnel permet d’agir en conscience, non pas pour jeter la pierre à quiconque mais pour définir et construire la vie dont nous rêvons. C’est en donnant une direction à vos vies que vous sortirez du cercle vicieux des répétitions et que vous trouverez votre propre route d’évolution, celle sur laquelle vous vous épanouissez et réalisez vos rêves dans chaque domaine de vie.

Découvrir sa généalogie permet de s’émerveiller sur les liens qui se tissent inlassablement au sein d’un arbre et qui expliquent le bien-fondé de la vie de chacun. Cette étude psycho généalogique permet de réaliser combien chaque être humain cherche à fleurir tant bien que mal, souvent maladroitement et difficilement, et ce parce que, tout simplement, il n’est pas conscient du terrain généalogique dans lequel il évolue. Cerner le sens de notre vécu dans les différents domaines de notre vie, quels qu’ils soient, nous donne des ailes, réveille la force vitale en nous, celle-là même qui nous donne l’énergie de devenir soi et de faire de notre existence une œuvre d’art unique.
Notre quatrième défi, vous aider à réaliser vos envies de vie essentielles

Chacun peut devenir acteur de son bien-être et de sa destinée, il suffit d’avoir le désir de se libérer des chaînes transgénérationnelles qui freinent notre élan à exprimer et réaliser ce qui nous met des ailes au cœur, nos envies.

En découvrant et en examinant nos envies essentielles à la lueur de notre psychogénalogie nous réalisons que le terrain transgénérationnel et les personnes avec qui nous sommes en résonnance nous ont poussé à développer les dons et les talents dont nous avions besoin pour finalement nous consacrer à ce que nous aimons le plus. Il existe en chacun de nous une force de vie créative qu’il nous revient d’exprimer pour prendre pleinement notre place et faire fleurir notre arbre grâce à notre épanouissement. Aborder notre histoire généalogique en ayant le désir d’exprimer ce que nous aimons au plus profond de nous-même aide à percevoir et à suivre l’élan de notre cœur dans chaque domaine de vie.

Il s’agit non plus de réagir à ce qui surgit dans notre vécu mais à agir en fonction de ce que nous rêvons de vivre, de devenir. Il s’agit de quitter la vibration de la peur et de nous brancher sur la vibration de la vie, celle de l’évolution du Vivant, celle de nos envies.
Notre cinquième défi, vous aider à devenir un alchimiste transgénérationnel

L’inconscient de chaque protagoniste de l’arbre contient du plomb fait de non-dits, de drames et de secrets de famille. Il sera toujours plus fort et déterminant que le conscient, aussi longtemps que la mémoire inconsciente ne sera pas passée en conscience.

Il en va d’ailleurs de même pour l’héritage lumineux qui sommeille au cœur de vos gènes, vous ne pouvez bénéficier pleinement de l’or qui s’y trouve déjà que si vous le conscientisez.

En vous invitant à dessiner spontanément votre arbre généalogique en deux minutes et en vous apprenant à le décrypter, il vous est possible de déceler noir sur blanc dans votre dessin spontané les conflits que vous et vos ancêtres nourrissez et qui vous empêchent de devenir riche, c’est-à-dire d’évoluer vers vos envies essentielles dans chaque domaine de vie.

En conscientisant votre capacité de prévention grâce à l’éclairage de votre inconscient transgénérationnel, vous réveillez l’alchimiste qui sommeille en vous. Vous réalisez qu’il est en votre pouvoir de transformer votre plomb en or et de devenir riche de ce qui n’a pas de prix, votre épanouissement sur tous les plans.

La véritable prévention est possible grâce à la psychogénéalogie, elle permet de repérer les situations dans lesquelles vos « mal-êtres », « mal-aises » ou « mal-à-dires » répétitifs apparaissent et de trouver comment agir sur ces états émotionnels qui vous plombent. Si ce qui se répète de douloureux dans les différents domaines de votre existence est en lien avec des programmes transgénérationnels qui s’activent au creux de vos gènes, vous avez le pouvoir de le transformer.
Notre sixième défi, vous aider à vous structurer grâce à la biologie

Tout l’art est de vous aider à alchimiser les conflits décryptés dans votre arbre minute en vous apprenant à redessiner votre arbre selon des règles de construction qui collent à la biologie, c’est à-dire qui répondent à la logique du Vivant et qui permettent à la vie de couler de source. Comprendre l’intelligence de la vie et devenir capable de la représenter et de l’intégrer dans la création de notre arbre généalogique grâce à une structure spécifique permet de vivifier le Vivant en vous et de sentir que vous êtes un enfant de l’Univers, libre de transformer le plomb en or et d’utiliser vos ressources pour réaliser vos rêves de vie.

À travers un dessin graphique ordonné que chacun de nous peut faire de son arbre sur quatre générations, nous pouvons mettre l’ordre qui aidera à percevoir les forces généalogiques dont nous pouvons bénéficier ainsi que les répétitions douloureuses qu’il est nécessaire de panser pour éviter une escalade malencontreuse.

Grâce à la théorie et surtout grâce aux exercices proposés dans notre livre, nos séminaires ou nos séances individuelles, il est possible de décrocher les épées de Damoclès familiales mises à jour et qui s’apprêtent à tomber sur nous non pas pour nous tuer mais pour être transformées en couronnes d’or, preuve de notre libération et évolution unique.

À travers la découverte de votre histoire, vous découvrez également les ressources, les dons et les talents dont ont fait preuve vos ancêtres et que vous pouvez à votre tour exprimer puisque vous en êtes également porteur.

La prévention basée sur la découverte de votre généalogie est par essence dynamisante car elle vous sort de l’impuissance et réveille votre énergie vitale.
Notre septième défi, sonder le terrain psychogénéalogique de vos maladies

Une fois l’arbre structuré sur quatre générations, il est possible de pister dans la totalité de l’arbre généalogique l’invariant de votre malaise ou maladie personnel. L’invariant, n’est autre que ce qu’on retrouve systématiquement chez la totalité des personnes ayant présenté cette maladie. Toute maladie à un terrain qui lui est propre.

Rassembler et structurer toutes les informations sur la vie familiale, sentimentale et professionnelle de chacun des protagonistes de son arbre généalogique, autant celles de vos clans que celles des multiples alliances qui se sont formées, permet de faire apparaître l’invariant d’une pathologie. Un invariant n’est rien d’autre qu’une information qui se répète de génération en génération.

En repérant les invariants, vous apprendrez à savoir ce qui risque encore de survenir et êtes mieux préparé à y faire face. L’opportunité de développer des capacités nécessaires pour guérir ne cesse de vous être donnée par de nouvelles épreuves du même type que celles qui vous ont amené à tomber malade non pas pour vous nuire mais pour évoluer.

Le professeur Anne Ancelin-Schützenberger est l’une des premières à avoir dépassé ce stade en mettant en évidence dans ses écrits l’effet que les faits historiques, familiaux ou géopolitiques ont sur les descendants.

Il va sans dire que, dans cette étape, s’informer sur les maladies, les accidents et les drames qui ont secoué l’existence de ces protagonistes est primordial.

Il s’agit donc, pour relever ce défi, de vous aider à mettre l’information et la connaissance en lumière (diagnostic). Tout comme la charité, une recherche bien ordonnée commence par soi-même.

Entamer la recherche par l’extérieur empêcherait de réaliser combien chacun d’entre nous a en lui une mine d’or d’informations.

Bon nombre de personnes croient souvent ne pas savoir grand-chose de leur arbre généalogique et réalisent en cherchant à répondre aux différentes questions que nous leur posons combien elles se trompent.. Œuvrer en groupe aide à réveiller tout autant les souvenirs de chacun grâce aux différents partages de cheminements généalogiques.

Chacun peut bien évidemment continuer cette recherche intérieure par l’interrogation délicate de toutes les personnes encore vivantes et la consultation des archives susceptibles de transmettre des informations.

Il est possible à tous de mettre en mots nos conditionnements éducatifs ainsi que celui de nos ancêtres et de réaliser une première étape de guérison c’est-à-dire de libération et d’évolution par le dessin ordonné, la parole et l’écriture.
Notre septième défi, vous aider à éclairer et alchimiser vos infinies profondeurs

Sous hypnose eriksonienne, vous êtes invité à terminer les deuils inachevés des protagonistes de votre arbre et à activer leurs capacités innées, inexploitées pour la réalisation de leurs rêves, et ce afin de rendre les vôtres possibles.

Dans cette phase, il s’agit d’aller à la rencontre de la mémoire des ancêtres présente biologiquement en nous pour entrer en empathie « tonico-émotionnelle » avec eux. Si l’on se met en résonance avec nos ancêtres, c’est-à-dire dans le même « tonus » que ceux-ci, on peut se souvenir, ressentir et imaginer ce qu’ils ont vécu pour le verbaliser. Il s’agit dans cette étape de transformer ou de transmuter cette mémoire, c’est-à-dire de faire de l’or à partir de la mémoire plombante des choses anciennes. Grâce à la structure spécifique que nous vous avons aidé à réaliser et aux informations que nous vous avons aidé à récolter et à inscrire en dessous de chaque protagoniste de votre arbre, nous détenons le matériel nécessaire pour vous guider à la rencontre de la mémoire cellulaire de vos ancêtres, partenaires, enfants et petits-enfants qui vivent en vous, au cœur de vos gènes.

Dans cette phase sous hypnose, vous prenez le temps nécessaire pour interroger chaque protagoniste de votre arbre en fonction des informations que vous avez découvertes sur lui. Grâce à ce questionnement et à la réponse que vous percevez sous hypnose, il vous est possible d’accueillir en vous-même les ressources dont chaque ancêtre aurait eu besoin pour mieux vivre et ainsi ne pas vous transmettre ses souffrances.

La bonne nouvelle est donc que chacun de nous, en relevant les 7 défis psychogénéalogiques que nous proposons, peut devenir un électron libre, un électron libérateur, et apporter un vent nouveau dans les feuilles de son arbre.

Le fait d’entrer en contact avec les émotions, les images de cette mémoire généalogique nous permet d’amorcer une véritable alchimie à l’intérieur de notre cerveau et de nos cellules.

Une alchimie qui se traduit dans notre vie par de nouvelles énergies, des changements importants, des ouvertures et des possibles là où il y avait des obstacles qui paraissaient insurmontables.

Même si en ressourçant la mémoire de vos ancêtres présente au cœur de votre corps, c’est vous-même que vous ressourcez en premier lieu, vous avez un effet détonant sur le monde extérieur aussi.

La physique quantique a en effet mis en évidence le principe d’intrication, c’est-à-dire que, comme les électrons qui composent les atomes, les membres qui composent chaque famille sont intriqués. Aussi, une modification survenant chez un électron ou membre d’une famille affecte tout le système atomique, corporel ou familial.

En effectuant ce voyage alchimique intérieur, vous vous préparez ainsi à une nouvelle vie, la vôtre, une vie faite de la liberté d’être plus facilement vous-même, de créer ce qui vous tient à cœur et apporter un précieux renouveau à votre descendance et à l’humanité tout entière en même temps. Quoi demandez de mieux ?

La joie de vivre n’a pas de prix tout le monde peut le ressentir, l’amplifier et le transmettre. Ces 7 défis qu’il appartient à chacun de relever mettent assurément sur la bonne voie, celle de de nous joindre à l’évolution du Vivant et d’y participer en conscience.
http://www.evidences.be/francais/articles/les-7-defis-de-notre-approche-en-psycho-genealogie-bio-medicale.html

Comment donner du sens à ce qui nous nourrit ?

Saviez-vous que les aliments parlent de nous à travers nos appétences et nos dégoûts ? Je pense donc je mange. Partons ensemble découvrir la symbolique des aliments avec mon invitée,

https://www.youtube.com/watch?v=8WQTy3F9rBU

Carole Prost, Naturopathe. ℹ️ Informations relatives au contenu : Pour découvrir le symposium international en psychogénéalogie à Lyon, 15-16-17 mars 2024 https://www.youtube.com/@associationl…

www.caroleprost.com

🎶 Musique : Raphaël Cohen

« Les enfants veulent guérir leurs parents »

Il nous parle de silence… De ce silence assourdissant qui parasite, alourdit, emprisonne et abîme les êtres, parfois sur plusieurs générations. Le silence des non-dits, des secrets de famille, des émotions non digérées, des fantômes hérités du passé. Le silence de l’inceste et des violences sexuelles, qui remontent à grands flots à la surface de cette société longtemps restée muette sur le sujet. En écho, le silence de l’amnésie traumatique. Mais aussi le silence, du moins l’ignorance, des thérapeutes sur ces violences intimes, trop longtemps non prises en compte en thérapie… Le psychanalyste et psychologue clinicien Bruno Clavier s’est penché sur ces questions brûlantes, tant dans sa pratique que dans ses livres, percutants. Ce spécialiste de la psychanalyse transgénérationnelle interviendra en mars prochain dans le cadre des Rencontres Internationales de Psychogénéalogie (1). Il y mettra en lumière un sujet primordial : les
symptômes transgénérationnels chez les enfants. Rencontre sans fard sur nos fantômes et les cicatrices de nos âmes humaines

L’amour immense des enfants pour leurs parents est la clé des transmissions transgénérationnelles. Sans être défaillants, les parents sont quelquefois dépassés, entravés par leurs propres histoires familiales et leurs  » casseroles « . Or les enfants sont des  » éponges émotionnelles « , ils sentent tout. Soudain, certains qui allaient bien se mettent à aller mal : cauchemars récurrents, forte nervosité, colères, angoisses, mais aussi, parfois, autisme ou psychose. Dans tous les cas, nous dit Bruno Clavier, ces enfants auxquels il n’est rien arrivé, ni abus ni violences, prennent sur eux le poids transgénérationnel : ils veulent guérir leurs parents et leurs ancêtres de leurs traumatismes. Au lieu de vivre leur vie, ils concentrent toute leur énergie à cette  » mission « . Comment s’y prennent-ils ? Et que faire pour qu’ils se remettent à vivre normalement ?

Biographie:
Bruno Clavier, psychanalyste transgénérationnel, est l’auteur des Fantõmes familiaux, qui s’est imposé immédiatement comme une référence. Ce livre-ci en est la suite. Les histoires fortes qui le composent en font aussi un ouvrage de prévention, tant les enfants, beaucoup plus que les adultes, ont le pouvoir de guérir vite et de manière spectaculaire. Il ne tient qu’à nous de leur éviter des souffrances inutiles.

https://www.fnac.com/a17033118/Bruno-Clavier-Ces-enfants-qui-veulent-guerir-leurs-parents?oref=00000000-0000-0000-0000-000000000000&storecode=202&Origin=SEA_GOOGLE_PLA_BOOKS&esl-k=google-ads%7Cnx%7Cc%7Cm%7Ck%7Cp%7Ct%7Cdc%7Ca20111491090%7Cg20111491090&gad_source=1&gclid=CjwKCAiA3JCvBhA8EiwA4kujZi-tNCohPGkncC5fSuWHa9cCdrb9mmqfyRpkBq_D_152Ejwq6qpDahoCE-8QAvD_BwE&gclsrc=aw.ds