Symposium International de Psychogénéalogie 2026

Nous préparons déjà le Symposium International de Psychogénéalogie, qui aura lieu le 20/21/22 Mars 2026 à L’Espace de l’Ouest Lyonnais, rue Sicard à Lyon sur le thème « du Silence, du secret ».

Vous n’avez pas pu suivre le Symposium 2024 sur l’enfance, vous avez la possibilité à partir de ce lien https://www.conversationpapillon.com/psychogenealogie/coffret-reg

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Toutes les vidéos professionnelles du Symposium International de Psychogénéalogie et du Transgénérationnel 2024 (13 conférences et ateliers exclusifs animés par des conférenciers de renom)

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A très bientôt

 

Peut-on hériter du traumatisme de nos ancêtres ?

 

C’est une découverte incroyable : des souris soumises à une expérience désagréable ont transmis, via leur ADN, la mémoire de cet événement à leur progéniture. Un héritage « épigénétique » qui réinterroge la notion de l’inné…

Pour ceux qui reprochent aux jeunes gens de faire peu de cas des leçons de leurs aînés et qui s’offusquent que la mémoire des événements passés (comme un traumatisme) se dissolve dans l’agitation du présent, la nouvelle devrait singulièrement apaiser leurs craintes : le souvenir de ce qu’ont vécu nos ancêtres, loin d’être perdu, se trouve tapi au plus profond de nous. Mieux, c’est dès la naissance que chacun profiterait en droite ligne de l’expérience de ses aïeux.

Cela sans en avoir toutefois conscience. Par exemple, vous avez peur des chiens ? Eh bien, il se pourrait que votre grand-père se soit douloureusement fait mordre dans sa jeunesse.

Vous aimez manger gras ? C’est peut-être parce que votre arrière-grand-mère connut les affres de la faim pendant la guerre, quand bien même elle n’osa jamais en parler.

Difficile à admettre car voilà qui semble déposséder chacun de sa propre expérience et, plus globalement, rebat les cartes de l’inné et de l’acquis ? Une chose est sûre : les

chercheurs Kerry Ressler et Brian Dias, de l’université Emory d’Atlanta (Etats-Unis), ont fait une extraordinaire découverte en observant, pour la première fois, la transmission d’un souvenir via … l’ADN ! En l’occurrence, le souvenir était celui de souris qui associaient une odeur à une expérience désagréable ; l’étude démontra que la mémoire de cette expérience fut transmise aux générations suivantes par cette seule voie biologique.

TRAUMATISME : JUSQU’À LA 3 eme GÉNÉRATION

Concrètement, les chercheurs ont d’abord appris à des souris mâles à avoir peur de l’odeur spécifique d’une molécule chimique, appelée acétophénone. Ils ont associé plusieurs fois de suite cette odeur à un choc électrique.

Dans les dix jours qui ont suivi, ces mâles se sont reproduits avec des femelles qui n’avaient, elles, jamais été exposées à cette odeur.

Résultat : la descendance, élevée exclusivement par les femelles, a instinctivement sursauté lors de sa première exposition à l’acétophénone (voir infographie). Beaucoup plus que les descendants de souris qui n’avaient pas appris à la craindre, ou même qui avaient appris à craindre une autre odeur. Un comportement qui pouvait aussi être transmis par les mères, ou en utilisant une autre odeur… Et qui persistait à la 3ème génération ! Dès lors, la conclusion s’imposait : des souris avaient, à leur naissance, hérité d’une forme de souvenir appartenant à leurs parents, indépendamment de tout apprentissage.

Elles savaient ce que leurs parents avaient, eux, dû apprendre par eux-mêmes.

LE SECRET ? L’ÉPIGÉNÉTIQUE

Magie ? Télépathie ? Non : le secret de cette incroyable transmission mémorielle s’appelle l’épigénétique. Soit l’ensemble des processus biologiques qui modifient l’ADN au cours de la vie. Là où la séquence des gènes ne change qu’au gré de mutations rares et aléatoires, les modifications épigénétiques sont régulièrement provoquées par les expériences que nous vivons et changent la façon dont s’exprime l’information contenue dans les gènes.

Par exemple, la pratique d’un sport entraîne des modifications de l’ADN qui changent la manière dont s’exprime un des gènes essentiels au métabolisme du glucose.

L’épigénétique ne cesse de révéler des phénomènes que l’on ne comprend pas encore. Il est temps que la communauté scientifique s’en empare – EVA JABLONKA, spécialiste de l’hérédité épigénétique, Institut Cohn, Tel Aviv

Or, les biologistes ont récemment montré que ces modifications peuvent, à l’instar des mutations affectant les gènes, être transmises d’une génération à l’autre. Mais jusqu’alors, cette hérédité épigénétique avait tout l’air d’un accident de parcours : de nombreuses études montrent que le stress des parents peut augmenter le risque de dépression chez les enfants, ou qu’une alimentation déséquilibrée favorise le diabète chez la descendance.

En clair : les aléas de la vie altèrent l’ADN, et ces changements passent à la descendance de manière fortuite et, le plus souvent, néfaste.

Avec la découverte des chercheurs de l’université Emory, on observe tout autre chose : ce qui est transmis, c’est une information précise qu’il est avantageux pour la descendance d’avoir en sa possession.

Et voilà que l’hérédité épigénétique, d’indésirable, devient un extraordinaire allié. Un moyen inventé par l’évolution pour que les parents transmettent aux enfants les leçons de leurs expériences. Pourquoi attendre qu’ils l’apprennent à leurs dépens, si on peut leur transmettre l’information biologiquement ? interroge ainsi Lawrence Harper, spécialiste de l’hérédité des comportements à l’université de Californie-Davis.

La nature aurait-elle inventé, avec la transmission des expériences par l’ADN, un puissant accélérateur d’évolution ?

La transmission épigénétique des souvenirs permet, une adaptation beaucoup plus rapide des populations : si une génération d’individus est massivement confrontée à un danger nouveau, dès la génération suivante, une grande partie des descendants pourrait développer un caractère les protégeant de ce danger.

Reste cependant à valider l’existence d’un tel mécanisme, qui ébranle les connaissances actuelles. Jusqu’ici, personne n’avait mis au jour, chez un mammifère, la transmission épigénétique d’un comportement appris. C’est l’exemple de transmission épigénétique le plus complexe que je connaisse, commente Eva Jablonka, spécialiste de l’hérédité épigénétique à l’institut Cohn (Tel Aviv).

Mais rien ne me paraît plus incroyable. Avec l’;épigénétique, on découvre toujours plus de phénomènes étranges, que l’on ne comprend pas encore. Il est temps que la communauté scientifique s’en empare.

Par quelles voies un message aussi complexe que la peur d’une odeur peut-il passer

d’une génération à la suivante ? Par le biais d’hormones ? Ou via des molécules de

régulation épigénétiques impliquées dans la mémoire, et qui seraient capables de passer du cerveau dans le sang, et modifieraient directement les cellules sexuelles ? Et, une fois arrivé jusqu’aux ovules et spermatozoïdes, comment ce message serait-il codé dans l’ADN, en dehors des gènes ? Enfin, comment de telles modifications épigénétiques se maintiennent-elles sur des générations ?

L’IDÉE QUE NOUS POURRIONS HÉRITER DE SOUVENIRS APPARTENANT À NOS PARENTS EST… VERTIGINEUSE

En attendant, les faits sont là : le vécu des pères (du moins chez les souris) modifie le comportement des générations suivantes. Dans l’intimité des cellules nichent des souvenirs… hérités des parents. Ce qui ouvre des questions que vont devoir affronter non seulement les biologistes, mais aussi les philosophes… Car il faudra expliquer ce que peut bien signifier de faire ses premiers apprentissages avant même d’avoir été conçu.

Comment il est possible d’engranger ses premiers souvenirs, alors que n’a pas même eu lieu la rencontre décisive entre un ovule et un spermatozoïde… Autant de questions qui donnent le vertige.

IL L’A DIT

Tout ce que la nature a fait acquérir ou perdre aux individus [… ], elle le conserve pour la génération de nouveaux individus, postulait il y a deux siècles le zoologiste Jean-Baptiste Lamarck . Cette idée d’hérédité des caractères acquis, exclue de la théorie de l’évolution inspirée par Darwin, revient en force depuis la découverte des phénomènes de transmission épigénétique.

Dans un article rapporté par ELSA ABDOUN

Peut-on hériter du traumatisme de nos ancêtres ?
Sciences et Vie Publié le 22 Déc 2022 à 12H00 / modifié le 19 Déc 2022

https://www.science-et-vie.com/article-magazine/peut-on-heriter-du-traumatisme-de-nos-ancetres

 

Parlons d’amour, parlons de nos amours et de notre façon d’aimer.

Les relations amoureuses !

En 1496, le Pape Alexandre VI, considéré comme celui qui a inventé la Saint Valentin, a consacré la Saint-Valentin à la fête des amoureux. Le but des célébrations du 14 février était de permettre aux célibataires de rencontrer leur âme sœur. Déjà fin janvier, et bientôt, toutes les vitrines vont se fleurir de cœur annonçant de façon intempestive la Saint-Valentin, vous ne pourrez pas y échapper, fleuriste, chocolatier, tout vient pour vous dire ET TOI ?. Toutes ses fêtes qui viennent peut-être rappeler à certaines, certaines leur solitude (Fête des pères, mères, grands-mères…), qui viennent nous interroger sur notre position sociale, familiale, culturelle.

Peut-on vivre sans amour, les très jeunes enfants privés totalement d’affection et de contacts affectifs, peuvent aller dans la dépression et voir même se laisser mourir. L’attachement, notre capacité d’être en relation, est fonction de ce que nous avons vécu enfant, que ce soit avec nos parents, ou les personnes chargés du prendre soin physique et émotionnel.

Aimer, et être aimé occupe une part et une place importante dans notre vie.

Le Docteur Olivier Soulier disait « J’ai toujours pensé que l’amour est pour chacun de nous au cœur de la guérison. le but de la vie est de grandir dans la conscience et d’épanouir ses dons, pour apporter à l’humanité et à soi notre accomplissement ».

Qu’il s’agisse de faire couple,  de vivre un célibat choisi ou subi, d’avoir des relations amoureuses  multiples,  la situation affective et amoureuse questionne souvent autour de schémas répétitifs insatisfaisants, transmis de générations en générations. Ainsi dans l’inconscient familial se jouerait il des mécanismes à l’œuvre, qui permettrait d’éclairer des blocages ou de problématiques dans votre vie affective ?..

Déjà adolescent ou jeune adulte, quel regard portiez-vous sur la relations de vos parents. Était-ce un couple amoureux? Comment fonctionnait leur couple? Quelles sont les croyances transmises au sujet des femmes, des hommes? Par exemple, peut-on s’appuyer sur un homme? Ceux-sont-ils comme des enfants? Toutes les femmes de ma famille finissent par se séparer….et ainsi de suite, la liste peut être longue.

Nous avons pu développer des croyances limitantes telles que : « L’Amour fait souffrir », « Toutes mes précédentes relations ont été des échecs », « J’attire toujours le même profil », « Il ou elle est trop bien, ce n’est pas pour moi », « les vraies histoires d’amour ce n’est pas pour moi, c’est juste dans les contes de fées » « Je ne trouverais jamais personne de mieux ».

La première fois, que vous avez senti des papillons dans le ventre, le cœur, ou autre, qu’avez-vous ressenti la première fois que vous avez croisé le regard de celui ou celle, qui va marquer votre première relation qui aboutira ou pas. Restera-t-il un prince charmant ou une princesse charmante pour toute votre vie malgré d’autres relations? Peut-être que cette personne a des traits physiques ou émotionnels avec une personne de votre famille ou de votre entourage?

Ainsi avec tous vos ressentis, nous irons explorer, les synchronicités, votre arbre généalogique. Cet arrière grand père par exemple,  pendant la guerre incorporé dans l’armée française pour prendre part à ce qui va devenir la Grande Guerre, prisonnier dès le début du conflit, il est envoyé comme main-d’œuvre dans une ferme ennemie. Il prendra ainsi la place de son opposant, dans les travaux des champs mais aussi dans le cœur de l’épouse restée à la ferme…Revenant après la libération dans sa famille, une partie de lui sera restée là-bas, n’en parlant à personne, peut-être laissant même un enfant de lui. C’est l’histoire peu commune d’un amour interdit entre un prisonnier de guerre et une felle allemande.

Ou comme par hasard, recherchant les actes de mariage, cet homme ou cette femme se mariant à 30 ans, on découvre qu’il y a eu une autre relation avant , mais que de cette relation est morte femme et enfant. La deuxième épouse porte le même prénom que la première.

Que faire ? Ai-je eu un attachement sécure ou insécure dans mon enfance, ainsi ensemble nous pourrons repérer les comportements mis en place pour empêcher toute relation affective d’aboutir. Apprendre à reconnaître les  comportements négatifs, identifier les pensées négatives envahissantes, est un premier vers une relation saine avec soi-même et aussi avec son partenaire.

Dominique Mathey

Dominique Mathey
 

Thérapeute Psychocorporelle

Psychogénéalogie – Constellation familiale et systémique –  Signatures fréquentielles – Aromathérapie Quantique – E.F.T  –
Séances – Ateliers

06.14.35.77.43

https://www.notre-voix-interieure.fr/

Levons le voile sur les secrets du passé!

Les histoires de nos ancêtres continuent de vivre à travers nous et elles influencent notre quotidien de façon subtile et réelle. En nous ouvrant aux histoires des générations passées, notre démarche nous permet de nous libérer du poids qui ne nous appartient pas. Celui que nous traînons encore, malgré tous nos efforts à nous en libérer, et malgré notre quête de liberté individuelle.

Les non-dits familiaux et les histoires camouflées font partie de ces fardeaux que nous portons. Ils n’ont pas été oubliés, bien au contraire, ils continuent à résonner négativement dans tout l’arbre généalogique.

Lors de la rencontre du 5 septembre prochain, Noëlle Lamy, psychogénéalogiste et psychanalyste transgénérationnel, nous démontre de quelle manière les fantômes du passé affectent notre présent. Nous apprendrons de quelle façon, en identifiant et dévoilant les secrets de nos lignées familiales, l’effet libérateur se répercute sur nous, autant sur nos ancêtres que sur notre descendance.

Grâce à l’expertise de Noëlle Lamy, nous entamons cette démarche dans la bienveillance et la compréhension. Nous apprendrons combien la psychogénéalogie est un outil essentiel pour réparer notre histoire transgénérationnelle, et ainsi retrouver qui nous sommes vraiment.

Que ce soit à travers les schémas de vie récurrents, ou encore, les dates et les prénoms qui se répètent au fil des générations, en psychogénéalogie, il n’y a pas de hasard. Tout a un sens!

Au cours de cette conférence, nous aurons la chance de :

  • Comprendre l’impact des secrets familiaux : apprenez comment les secrets cachés influencent votre vie actuelle et vos comportements.
  • Identifier les fantômes du passé : découvrez ce que sont les fantômes transgénérationnels et comment ils se manifestent dans votre existence.
  • Mieux comprendre son histoire : découvrez les indices de votre arbre pour révéler les secrets de famille et ainsi avoir une meilleure compréhension de votre histoire et ainsi une meilleure connaissance de vous-même.
  • Rétablir l’harmonie familiale : amorcez un processus de restauration de l’harmonie et la paix au sein de votre lignée en résolvant les dynamiques cachées et en transformant les blocages hérités.

Ne laissez pas les secrets du passé influencer votre présent, votre futur et vos descendants. Demandez vos accès gratuits dès maintenant à cette rencontre unique!

Ensemble, dévoilons les mystères cachés de nos ancêtres et explorons les mécanismes psychologiques qui perpétuent les cycles de traumas familiaux pour leur mettre enfin un terme.

Demandez vos accès gratuits à cette conférence unique et découvrez comment la psychogénéalogie et le transgénérationnel peuvent vous aider à mieux vous connaître!